L’histoire de la vitamine C :

La vitamine C, (également nommée acide ascorbique, ou encore acide oxo-3-gulofuranolactone), est une vitamine hydrosoluble qui doit son nom à une maladie se déclenchant suite à une carence en vitamine C, appelée le scorbut.

Littéralement, « ascorbique » en Grec se traduit par « anti-scorbut ».

Déjà quelques descriptions de scorbut sont notifiées du Moyen Age lors de longs états de siège de châteaux par les ennemis.

Cependant la description officielle pouvant être reconnue comme la première maladie professionnelle, date de 1497 lorsque Vasco de Gama se rend compte que ses marins tombent malades après douze semaines en mer ; en 11 mois, 120 marins y laisseront leurs vies. En 1519, Magellan en fera également les frais avec le décès de 247 marins.

Au début des années 1600, après ces expériences tragiques, des escales plus fréquentes et l’absorption de produits frais, notamment de citrons, réduiront considérablement les problèmes de scorbut.

En 1747, James LIND prouve par un essai clinique sur 12 marins atteints de scorbut au même stade de la maladie, que la consommation de jus de citron sera de loin le plus efficace parmi les produits testés lors de cette étude.

La vitamine C est produite naturellement par l’organisme pour de nombreux animaux, seules quelques espèces ne sont pas en capacités d’en produire, dont l’être humain.

En 1928 Albert SZENT-GYÖRGYI arrive à isoler l’acide hexuronique. Puis, en 1930, il décide avec l’aide du chimiste Joseph Svirbely de conduire une expérience sur des cobayes rongeurs : une moitié sera privée d’un régime anti-scorbutique qui rendra les rongeurs malades à 100%, et l’autre moitié enrichie en acide hexuronique, qui resteront en pleine santé. Szent-Györgyi  rebaptisera l’acide hexuronique en l’acide L-ascorbique.

La vitamine C est « née », et les travaux sur cette première vitamine isolée, seront innombrables et se poursuivent encore de nos jours.

A quoi sert concrètement la Vitamine C ?

Notre corps a besoin de se supplémenter en vitamine C car il ne la synthétise pas naturellement. Nous le faisons depuis la nuit des temps avec notre alimentation, car elle se trouve naturellement dans les fruits et les légumes, y compris dans la viande.

La vitamine C a un effet anti-oxydant, des propriétés contre le vieillissement, et est indispensable pour le bon fonctionnement et le tonus du système immunitaire, ainsi qu’à la synthèse du collagène, constituant essentiel de la peau, des gencives et des cartilages.

Elle permet également de synthétiser des neurotransmetteurs comme la noradrénaline, la dopamine ainsi que l’adrénaline, ce qui permet d’améliorer les cas de fatigue en « boostant » le corps, et est essentielle au bon fonctionnement cérébral et cognitif.

Elle améliore l’assimilation du fer, permettant une meilleure combustion des graisses en régulant la glycémie ; elle peut être une aide précieuse pour les personnes en surpoids.

Nous avons vu précédemment que le corps ne sait pas synthétiser la vitamine C (d’où son appellation de la vitamine), et ne sait également pas la stocker. De ce fait, un apport journalier est primordial, surtout lorsque l’on sait les dégâts que peuvent provoquer une carence de cette vitamine dans le corps.

Où trouver de la vitamine C ?

La première chose à savoir est que la vitamine C est très fragile : elle résiste très mal à la chaleur.

                            Le tableau ci-dessous indique la contenance en vitamine C pour 100g de quelques aliments

L’apport journalier recommandé pour ne pas développer de maladie grave comme le scorbut est de 80 mg par jour, mais il n’y a pas que les maladies graves. La norme européenne autorise sans risque de consommer 1000 mg par jour, et certains chercheurs affirment qu’il ne faut pas descendre en dessous de 400 mg par jour.

En partant de ce dernier chiffre essayons de constituer un repas pour atteindre ces 400 mg.

Repas pour deux personnes :

Une salade :

  • Tomate 700 g soit 100 mg de vitamine C
  • Basilic 2 g soit 1mg de vitamine C
  • Poivron 100 g, soit 120 mg de vitamine C
  • Persil 30 g, soit 51 mg de vitamine C

Omelette aux fines herbes :

  • 4 Œufs 200 g + Fine Herbe (non cuite), soit 58 mg de vitamine C au total
  • Un grand Jus d’orange frais, prenons 500 g de jus d’orange. Ce qui équivaut à 200 mg de vitamine C

Si on fait le total de ce repas, on arrive à 267 mg de vitamine C par personne. On peut aussi dire qu’il s’agit d’un repas d’été frais et cru et que l’on ne peut manger tous les jours, en tous cas pour la majorité des personnes (le sujet du cru n’est pas à débattre ici, et fera l’objet d’un autre article).

Il semble assez complexe au final d’atteindre les doses de vitamine C journalières optimales. Faites le test chez vous, mesurez ce que vous avez dans l’assiette, vous serez surpris ! Surtout en hiver, il est difficile d’atteindre les 80 mg.

Evidemment, en plein été, lorsque l’on a un jardin il est bien évident, qu’entre les tomates, les fraises, les herbes aromatiques, les fruits mûrs gorgés de soleil, l’apport en vitamine C est relativement aisé, mais tout le monde n’a pas la chance de faire pousser ses fruits et légumes dans un jardin, et les produits frais et de qualité coûtent de plus en plus cher.

La vitamine C moins présente dans nos aliments aujourd’hui ?

Nos aïeux semblaient avoir moins de difficultés à se nourrir correctement. L’agriculture intensive arrosant abondamment d’eau, d’engrais et autres pesticides, augmente la rapidité de croissance des fruits et légumes ! Poussant trop vite, Ils n’ont pas le temps de se nourrir des nutriments de la terre, et de la maturation au soleil, adieu l’abondance des bons nutriments et vitamines d’antan … et cela sans parler des croisements pour obtenir de meilleur rendement au détriment des nutriments. Ces variétés d’il y a 50 ans étaient plus riches, et malheureusement celles-ci finissent par disparaître de nos étals de légumes.

Finalement, lorsque vous allez chez un pépiniériste, vous n’achetez pas ces variétés présentes il y a 50 ans, mais des nouvelles variétés, celles qui ont été croisées au fil des années pour pousser et produire plus vite en abondance.

Une association de graine pour les potagers l’a bien compris, il s’agit de KOKOPELLI, ils ont retrouvé de vieilles variétés pour retrouver la qualité des années 50 et antérieures.

Beaucoup d’articles se contredisent à ce sujet, mais on arrive aisément à comprendre pourquoi les fruits et légumes peuvent être moins nutritifs et que ce raisonnement est loin d’être aberrant. Ne serait-ce qu’en termes de production, d’arrosage intensif, ou de croisement, sans parler des OGM.

On entend dire parfois, que les pommes des années 50 avaient 100 fois plus de vitamine C qu’une pomme de 2022. Inutile d’aller aussi loin, n’ayant aucun moyen de le vérifier, les moyens de mesurer la vitamine de l’époque étant beaucoup moins précis qu’aujourd’hui. En revanche, il est raisonnable d’affirmer que les fruits et légumes des années 50 étaient plus riches en vitamines et nutriments qu’aujourd’hui.

« National Geographic » a d’ailleurs écrit un article à ce sujet :

https://www.nationalgeographic.fr/environnement/nos-fruits-et-legumes-sont-de-moins-en-moins-nutritifs

Pourquoi se supplémenter en vitamine C ?

La vitamine C apporte beaucoup de bienfaits et empêche également nombre de complications physiologiques lorsque l’on est en carence.

La plupart des personnes, surtout en hiver, sont loin des 400 mg de vitamine C dont nous aurions besoin pour être en forme.

Prendre de la vitamine surtout en hiver, apporte un bienfait indéniable et, associé à d’autres compléments, elle devient encore plus efficace sur certains critères.

Elle protège contre le vieillissement cellulaire, renforce l’immunité, protège de radicaux libres et a un pouvoir anti-oxydant.

Associé à de la phycocyanine qui a un pouvoir 20 fois plus anti-oxydant que la vitamine C et un potentiel anti-radicaux libres à large spectre, il se crée une réelle synergie ; et en y ajoutant du zinc et du sélénium, l’association devient presque parfaite puisque l’on obtient avec cette association un véritable frein sur les radicaux libres et une réelle stimulation des cellules souches grâce à l’ajout de la phycocyanine, ainsi qu’une excellente aide contre l’hypertension artérielle.

L’activité des globules rouges et blancs (cellules du système immunitaire) s’en trouve accélérée et améliorée. C’est une avancée fort intéressante pour aider à la protection contre des cancers, des maladies cardiovasculaires, des maladies neuro-dégénératives, et contre les divers agents pathogènes.

La vitamine C liposomale, de quoi s’agit-il ?

Il s’agit d’une technologie qui n’est pas nouvelle. Par exemple, en 1987, Robert Malone a l’idée de mettre de l’ARN messager dans une capsule de lipides cationiques, c’est-à-dire un liposome chargé positivement.

La première production d’un liposome, date de 1961. Alec D.Bangham a découvert qu’il pouvait créer une structure sphérique avec une partie soluble dans les graisses et une partie soluble dans l’eau.

Un liposome est produit généralement à partir de phospholipides que l’on peut extraire de végétaux comme, par exemple, la lécithine de tournesol ou de soja, mais aussi de la cameline, de certains coquillages, ou il peut être complètement synthétique. Il a une taille de l’ordre du nanomètre, bien variable.

Le liposome ayant une taille nanométrique, la technologie peut être nommée « nanotechnologie ». Un liposome « efficace » doit mesurer entre 80 et 150 nm (nanomètres) ; s’il fait plus de 200 nanomètres il passera difficilement la barrière cellulaire et s’il fait moins de 50 nm, il ne contiendra pas assez de principes actifs à l’intérieur de la sphère. Il s’agit donc un procédé de fabrication complexe.

Lorsque l’on parle de vitamine C liposomale, on parle donc d’une capsule sphérique graisseuse nanométrique contenant l’acide ascorbique à l’intérieur. La capsule agit comme un transporteur pour délivrer la vitamine C à distance et agir comme une forme de stockage puisqu’elle ne va pas se diffuser immédiatement dans l’organisme. Lorsqu’elle va atteindre une cellule, la composition du liposome et de la cellule étant de nature similaire elles vont fusionner et le liposome va passer la barrière de la cellule et se retrouver à l’intérieur pour libérer la vitamine.

En médecine, les produits actifs peuvent être encapsulés dans des liposomes pour mieux libérer la substance active et mieux cibler la libération de certains produits, comme les vaccins à ARNm.

De prime à bord, cette technologie semble particulièrement intéressante, la capsule liposomale va passer par l’estomac sans être dégradée (ou peu) et va ensuite traverser plus efficacement la barrière intestinale pour finir par fusionner avec les cellules.

Mais nous avons vu plus haut que les composés hydrosolubles comme la vitamine C, étaient assimilés en étant décomposés par l’estomac, puis transportés par des protéines dans le corps jusqu’aux cellules. Dans le cas de la vitamine C, on peut encore se reposer la question : pourquoi rajouter la fonction liposoluble, alors que la nature le fait déjà parfaitement.

Comment est fabriqué un liposome ?

Un liposome est une nanotechnologie et n’est pas naturelle, elle est donc toujours synthétique et obligatoirement fabriqué en laboratoire. De plus, la fabrication étant  synthétique il faut des outils pour produire une capsule : on a toujours besoins d’additifs, et il semble qu’ils soient très souvent nocifs pour la santé.

Voici un exemple concret : pour enfermer de l’acide ascorbique qui est pour rappel hydrophile dans une capsule liposomale, on utilise en générale un phospholipide à base de lécithine de soja. L’émulsifiant va permettre de mélanger la partie hydrosoluble (donc la vitamine C) à la partie liposoluble grâce aux phosphatidylcholines (ou plus simplement : il va se replier sur lui-même en formant une sphère qui va donner la capsule liposomale contenant l’acide ascorbique).

Le procédé décrit peut paraitre complexe dans les termes utilisés, mais il image assez bien ce qu’est un liposome. Il est important de noter que dans ce procédé, il faut extraire la lécithine d’une certaine manière et pour se faire on utilise des solvants comme par exemple l’hexane bien connu pour sa toxicité, et qui va fatalement se retrouver dans  le produit final. Sans parler des OGM qui touchent plus de 90% du soja produit aux US. Car on vérifie toujours la composition du produit, mais jamais les produits utilisés pour la conception.

Pour produire ces phospholipides, on ne connait jamais les produits utilisés lors des phases  d’extraction ou de fabrication. Et le fabriquant n’est pas obligé de les nommer sur la boite commercialisée !! Pour extraire le composé voulu, on utilise de l’hexane, de l’acétone, du  E473 Sucroesters d’acides gras, ou le polysorbate 80 et bien d’autres.

liens :

https://www.quechoisir.org/comparatif-additifs-alimentaires-n56877/e473-sucroesters-d-acides-gras-esters-de-saccharose-d-acides-gras-p223813/

https://popups.uliege.be/1780-4507/index.php?id=17402&file=1&pid=14095

La description précédente est l’une des pires que nous ayons trouvée pour produire des liposomes qui existent sur le marché de nos jours.

Il y a des moyens « jusqu’à preuve du contraire » de fabriquer des liposomes non toxiques à base de tournesol. Le tournesol étant plus facile à trouver sans OGM, on peut aisément éliminer ce problème. Par ailleurs, il semble que certains fabricants arrivent à extraire de la gomme de tournesol grâce à une première pression à froid : la lécithine du tournesol.

Aujourd’hui, nous n’allons pas aller plus loin dans nos commentaires, et approfondissons nos investigations auprès des fournisseurs avant de donner un avis plus définitif.

En attendant, nous pouvons néanmoins affirmer que la prudence est de mise concernant la vitamine liposomale suivant le fournisseur.  N’oublions pas que l’on voit aujourd’hui, des laboratoires aux qualités douteuses mais vendant ses produits sur le marché de manière totalement légale sont courante.

Comment être certain que la quantité appropriée de produit bioactif est bien présente dans le liposome ? Comment être certain de garantir une taille des liposomes entre 80 et 150 nm ? Pire ! Certains laboratoires mélangent juste un corps gras avec l’acide ascorbique vendant leur produit en tant que « liposomal », qui est 2 à 3 fois plus cher qu’une simple vitamine C.

 

Faut-il utiliser une vitamine C liposoluble plutôt que de l’acide ascorbique « libre » ?

L’acide ascorbique dans le liposome et l’acide ascorbique pur, n’ont aucune différence sur la fonction antioxydante, ceci a déjà été mesuré en laboratoire, on peut donc en conclure qu’il n’y a pas de différence majeure entre les deux produits au niveau du principe actif (ces tests ont été élaborés en mesurant le taux de radicaux libres dans les deux cas)

L’acide ascorbique est assimilé par le corps à 100 % tant qu’il est pris à des doses inférieures à 500 mg, absorbé à 70 % lorsqu’il dépasse une prise à 500 mg et à 50 % au-dessus d’une prise à 1000 mg. On peut donc en déduire que pour une prise de vitamine C inférieure ou égale à 500 mg, ce qui est le cas pour la majorité des gens, la vitamine C non liposomale est suffisante.

On peut se poser la question pour des prises importantes (hauts dosages) pour aider à la chimiothérapie, mais dans ce cas on utilisera des injections qui sont 10 fois plus efficaces que la prise orale de vitamine C liposomale, n’en déplaise aux vendeurs de vitamine C liposomale. Reste les prises entre 500 et 3000 mg, par exemple pour une pratique sportive intensive, les malades, en cas de fatigue extrême ou pendant un régime, une grossesse, pour les fumeurs ou dans les cas de pathologies spécifiques.

On sait que la prise de vitamine C liposomale peut être plus efficace que la prise de vitamine C classique. Maintenant pour une prise de 1000 mg on ne parle que de 30 % de la dose en moins, donc d’une prise de 850 mg au final.

En conclusion l’utilité de la vitamine C liposomale est réel, à condition qu’elle soit utilisée pour des cures spécifiques et pour des doses supérieures à 500 mg et à condition d’avoir une bonne qualité liposomale.

Quoiqu’il en soit (et chacun se fera un avis sur cette question de vitamine liposomale ou non), il a été mis en évidence la complexité de fabriquer une « bonne » vitamine C liposomale. Il faut se méfier des prix trop bas, une vitamine C liposomale est trois plus chère à la production, elle ne sera donc jamais « bon marché ». Nous finirons en disant que selon l’utilité que l’on souhaite, sa prise ne devrait pas être systématique.

Pour notre part, plutôt que de produire une vitamine C liposomale qui semble clairement inutile à des doses inférieures à 500 mg, nous avons décidé de remplacer le liposome par une molécule naturelle et saine, la phycocyanine. La synergie entre les deux composés est réellement exceptionnelle, puisque la phycocynanine va élargir le spectre de neutralisation des radicaux libres. Elle multiplie par 20 le potentiel anti-oxydant par rapport à celui de la vitamine C seule. Elle va aider à la détoxification du foie (donc du corps) par un effet « chelateur de radicaux libre », ce qui correspond à une activité complémentaire à la vitamine C. Ceci aide à la fortification des cellules souches et à la régulation du système physiologique rénine-angiotensine. (Voir l’article sur la phycocyanine).  

Certains scientifiques ont mis en évidence que le corps à besoin d’un apport en vitamine C journalier compris entre 250 mg et 500 mg. Etant donné que nous avons déjà un apport dans la nourriture quotidienne, il apparaît qu’un apport de 80 à 200 mg pourrait être suffisant comme apport supplémentaire, via des compléments alimentaires.

Nous avons choisi d’apporter 480 mg à notre phycocyanine / et 530 mg à notre Complexe VITALIS, car nous prenons en compte l’incertitude de l’ingestion de la quantité de vitamine C via notre alimentation. Pour les personnes ayant un besoin en vitamine C supplémentaire allant jusqu’à 1g par jour, notre pack Immunité / Antioxydant alliant Phycocyanine/Vitamine C et Complexe Vitalis sera parfait pour vos besoins. Par ailleurs une prise de 1000 mg est sans dangers sauf les rares cas déconseillés, sachant que le corps éliminera naturellement le surplus par l’urine.

A qui la vitamine C est déconseillée

  • Etant donnés que l’acide ascorbique favorise l’absorption de fer, Il est déconseillé aux personnes qui ont une surcharge de fer de prendre de la vitamine C comme de la Phycocyanine. Cela pourrait entrainer une toxicité.
  • Il est également important de faire attention si vous prenez des médicaments anticoagulants. Certaines substances anticoagulantes peuvent interférer avec la vitamine C et détruire ainsi la vitamine B12 du corps.
  • À forte dose (supérieure à 1 g), Il pourrait potentiellement subvenir des brûlures d’estomac, une diarrhée, des calculs des voies

 

  • Dans tous les cas, l’avis d’un médecin est vivement recommandé.